L'histoire des français sous la royauté

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Livre le grand bêtisier de l’histoire de France d’Alain Dag’Naud, Larousse :

Charles d’Orléans est fait prisonnier à la bataille d’Azincourt en 1415. Il se retrouve enfermé en Angleterre en attendant le paiement de sa rançon. Mais sa femme meurt, suivie de son beau-père puis de son frère cadet. Charles reste détenu vingt-cinq ans au cours desquels il passe son temps à écrire des poèmes. Il est même oublié des Anglais. Dommage pour eux, car en 1429, il leur aurait suffi d’exiger de lui les clefs d’Orléans, dont il est le seigneur, pour prendre la ville sans coup férir.

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Livre le grand bêtisier de l’histoire de France d’Alain Dag’Naud, Larrousse :

A la cour d’Henri II, on s’efforce d’appliquer les règles de savoir-vivre répertoriées dans le « Manuel des Convenances » de Mathurin Cardier. Pour s’adresser à un interlocuteur, il convient d’avancer les lèvres pour faire entendre un sifflement. On marchera en se dandinant à la mode italienne. Dans un salon, on se tiendra un pied sur l’autre, de façon à donner l’impression que l’on est sur une seule jambe. Pour saluer, on ploie le genou droit « avec un doux contournement du corps » avant de baiser la femme sur la bouche et d’embrasser l’homme par accolade « d’un bras dessus l’épaule l’autre dessous » si l’on est de même rang social, mais de plus en plus bas plus la personne est importante. A quel niveau convient-il de s’arrêter sans prêter à confusion ?